Vous commencez à me connaitre. Un visuel en désaccord total avec ce que j’ai à dire 😊
Mais j’ai peut être l’attention de quelques personnes ainsi pour raconter quelques mésaventures animales qui, outre le coté écologique, incitent de plus en plus de personnes à consommer autrement. Avant même l’abattoir, dans les élevages intensifs ( 80% en France ), on coupe par exemple le bec des poulets, sans anesthésie ou autre précautions, pour éviter qu’ils se disputent dans des espaces pas beaucoup plus grands qu’une feuille A4 chacun. Pour les cochons, on leur meulent les dents, on leur coupe la queue et on les castre à vif. #empathie est toujours dans le dictionnaire ou .. révolu ?
Chacun dispose d’a peine l’espace de leur corps pour gambader. Le matériel d’étourdissement souvent défectueux et inefficace fait que beaucoup d’animaux sont conscients au moment de la saignée et du découpage. Qui paierait des gens pour supporter découper des êtres sensibles 8h/jour ? On tue chaque année 65 milliards d’animaux à l’image des chambres à gaz au minimum. Presque 10 fois qu’il n’y à d’humains sur notre belle planète. Sommes-nous des nazis ? Sur le papier, surement.
Une viande peut traverser 7 pays différents avant d’être vendu. Mais les lieux de provenance et de transformation ne sont pas des mentions obligatoires à afficher. L’Europe importe 33 millions de tonnes de soja OGM d’Amérique latine , 87% pour nourrir nos amis à 4 pattes (bovins, porcs et volailles) . Ce soja aime s’épanouir sur des terres riches fraichement déboisées. Pour cela, on utilise le feu, qui souvent « échappe » au contrôle, que ce soit en Amazonie, en Afrique ou partout ailleurs. Moins il y’a de forêts, plus nos copains les industriels seront ravis. C’est pourtant une grande source d’oxygène.
Mais pas de panique, la seconde source d’oxygène en stock ( l’océan ) n’échappe pas à ces mêmes industriels qui rejettent assez de produits toxiques pour faire mourir ce qui vit dans « nos » océans. Et un petit surf suffit à en voir une infime partie.
Comment y remédier ? Et bien , j’ai un indice : nous en sommes les consommateurs. ...